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Cantique des cantiques, texte à offrir par Idzig

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Http://www.theatre-video.net/video/Le-Cantique-des-cantiques-extraits-video : c'est superbe, à écouter et se délecter. Le Cantique des cantiques, textes érotiques. Que tu es belle, mon amie, que tu es belle ! Tes yeux sont des colombes, Derrière ton voile. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de la montagne de Galaad. Tes dents sont comme un troupeau de brebis tondues, Qui remontent de l'abreuvoir; Toutes portent des jumeaux, Aucune d'elles n'est stérile. Tes lèvres sont comme un fil cramoisi, Et ta bouche est charmante; Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile. (4.1 à 4.3) Tu me ravis le cœur, ma sœur, ma fiancée, Tu me ravis le cœur par l'un de tes regards, Par l'un des colliers de ton cou. Que de charmes dans ton amour, ma sœur, ma fiancée ! Comme ton amour vaut mieux que le vin, Et combien tes parfums sont plus suaves que tous les aromates ! Tes lèvres distillent le miel, ma fiancée; Il y a sous ta langue du miel et du lait, Et l'odeur de tes vêtements est comme l'odeur du Liban. Tu es un jardin fermé, ma sœur, ma fiancée, Une source fermée, une fontaine scellée. Tes jets forment un jardin, où sont des grenadiers, Avec les fruits les plus excellents, Les troènes avec le nard; Le nard et le safran, le roseau aromatique et le cinnamome, Avec tous les arbres qui donnent l'encens; La myrrhe et l'aloès, Avec tous les principaux aromates; Une fontaine des jardins, Une source d'eaux vives, Des ruisseaux du Liban. Lève-toi, aquilon! Viens, autan ! Soufflez sur mon jardin, et que les parfums s'en exhalent ! - Que mon bien-aimé entre dans son jardin, Et qu'il mange de ses fruits excellents ! (4.9 à 4.16) J'entre dans mon jardin, ma sœur, ma fiancée; Je cueille ma myrrhe avec mes aromates, Je mange mon rayon de miel avec mon miel, Je bois mon vin avec mon lait... -Mangez, amis, buvez, enivrez-vous d'amour ! - J'étais endormie, mais mon cœur veillait... C'est la voix de mon bien-aimé, qui frappe: - Ouvre-moi, ma sœur, mon amie, Ma colombe, ma parfaite ! Car ma tête est couverte de rosée, Mes boucles sont pleines des gouttes de la nuit. - J'ai ôté ma tunique; comment la remettrais-je ? J'ai lavé mes pieds; comment les salirais-je ? Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre, Et mes entrailles se sont émues pour lui. Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé; Et de mes mains a dégoutté la myrrhe, De mes doigts, la myrrhe répandue Sur la poignée du verrou. J'ai ouvert à mon bien-aimé; (5.1 à 5.6) Où est allé ton bien-aimé, O la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s'est-il dirigé ? Nous le chercherons avec toi. Mon bien-aimé est descendu à son jardin, Au parterre d'aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis. Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi; Il fait paître son troupeau parmi les lis. (6.1 à 6.3) Qui est celle qui apparaît comme l'aurore, Belle comme la lune, pure comme le soleil, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières ? - Je suis descendue au jardin des noyers, Pour voir la verdure de la vallée, Pour voir si la vigne pousse, Si les grenadiers fleurissent. Je ne sais, mais mon désir m'a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. - Reviens, reviens, Sulamithe ! Reviens, reviens, afin que nous te regardions. (6.10 à 6.13) Que tu es belle, que tu es agréable, O mon amour, au milieu des délices ! Ta taille ressemble au palmier, Et tes seins à des grappes. Je me dis: Je monterai sur le palmier, J'en saisirai les rameaux ! Que tes seins soient comme les grappes de la vigne, Le parfum de ton souffle comme celui des pommes, Et ta bouche comme un vin excellent,... - Qui coule aisément pour mon bien-aimé, Et glisse sur les lèvres de ceux qui s'endorment ! Je suis à mon bien-aimé, Et ses désirs se portent vers moi. Viens, mon bien-aimé, sortons dans les champs, Demeurons dans les villages ! Dès le matin nous irons aux vignes, Nous verrons si la vigne pousse, si la fleur s'ouvre, Si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon amour. Les mandragores répandent leur parfum, Et nous avons à nos portes tous les meilleurs fruits, Nouveaux et anciens: Mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi. (7.6 à 7.13) Oh! Que n'es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t'embrasserais, Et l'on ne me mépriserait pas. Je veux te conduire, t'amener à la maison de ma mère; Tu me donneras tes instructions, Et je te ferai boire du vin parfumé, Du moût de mes grenades. Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m'embrasse! ..... - Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille.

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