Je suis un Hurlubabu, corne au cul de berlue
Trottant mon soul de toute binaison moureuse
Passerelle de Valmy, me voici, pose ton Boby !
Pointe ta framboise, je vas passer Charenton
Jy veux savoir où ly est le chômin minchô
Vestale, Garde fermer ta chambre Verdi
Fille aux seins crachin de poire en cohue
Tes apollines au toucher de far breton
Et bouge tes reins au creusoir de youpi
Bégueule des nues, je te demande partons
Tu feules de par Dieu comme un gibbon diffame
Quand le train roublu est tout frais tout flamme
Dis Blaise, suis-je bien loin du pompon Martre ?
Hé toi, femme danabase au grand jujubier
Chante tes virelais par-dessus les couvertures
Fille fêlée qui se distille ses pincées de jeudi
Cache ta douleur au profond de tes yeux fris
Femme fardée de croyant à rien-croyant tout
Garde-moi un archipel pour tous mes dégouts
Fille fichu capable de toutes les ouvertures
Pour aller dans lincertain où je l y mets
Liberté de ta bouche, fuyantes de symboles
Ton esprit free vole dans ta rude paroisse
Et comme un apôtre au gousset du gourbi
Avec le cahier posé sur un support de lattes
On a le droit dy écrire toutes les fautes
Béguin, vois-tu, ya la rue dehors et des maisons doignon
Des vendistes et toureurs, et des trouffions du hors-piste
Comprends le signal du nuage qui bouge et qui moutonne
Fais-toi voir sur eux le dessin de ta main phéromone
Et jy saurais la « dinomo » du » monodi » clandestin
PS :
dans le troisième morceau du « rise and fall of Zigg
moonage daydream ( rêverie lunaire), Bowie , à part de se prendre pour une folle du Rockn Rol,
se prend pour un alligator, Why and why not ?
Msieudame, jai la folie qui m' diffuse
encore cette part à laile
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