Tu étais fougueux comme un destrier quon ne monte quà cru
Toujours prêt à m'enfourcher, me chevaucher...
Une danse indienne sans cesse renouvelée,
Dès laube, le chant des oiseaux nous surprenait enlacés, nos corps moites et odorants, rompus par les caresses, reprenaient vie au rythme de leurs chants.
Je me sentais femelle...à toi,
Dune irréfragable virilité !
Mais vois-tu, avec les années, lobole de mes fellations matinales devenait un vrai calvaire...
Toi « Grand cheval de feu »,... tu nétais pas du matin !
Jaurais aimé que tu prennes linitiative de quelques irrumations...mais non !...
Cela ne te serait même pas venu à lidée...ce nétait pas lheure !
Dommage mon Bel Indien!
Parce que mon nouvel amant, tout aussi concupiscent que toi,
Est , de surcroît, doué dune délicatesse et dune attention que je nosais espérer...
Fort et conscient de ma générosité, lui... a su insérer dans nos relations cette insénescence...qui ma rendu mes 20 ans !!!
Et pourtant, chez lui, il y a un côté quelque peu obscène qui me fait penser à toi au plus fort de nos ébats...
Etrange cette rupture/continuité...
Sinon, rassure-toi !.... Leffet cholagogue, produit par tes multiples infidélités...sest atténué, jusquà disparaître.
Il est vrai quà chaque fois que tu me trompais,
Tu moffrais des roses !
Ca me rappelle cette citation de Victor Hugo :
"Il y a des gens qui vous laissent tomber un pot de fleurs sur la tête d'un cinquième étage et qui vous disent : Je vous offre des roses."
Mais je ne ten veux plus !
Ne t'en déplaise!!!
↧