La belle que voilà oeuvrait au cachet et recevait dans l'atelier d'un peintre qui, doué d'un savoir-faire probablement unique, avait réussi à la convaincre d'accueillier de généreux admirateurs, lui assurant qu'il la protégerait vis-à-vis d'une police des moeurs nourrissant quelques soupçons sur les activités de l'artiste et de son modèle.
J'offre ces quelques lignes à tous les huns qui, je n'en doute pas, auront le coup de foudre pour cet immoral textulet.
Je précise que, nonobstant ma licence si avérée aux yeux de certaines et certains, j'accepte les fleurs par brassées et bouquets.
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