Vêtue d'un cerceau qui me lime l'âme
ainsi que le cri de celle parfois
qui me ruine ma vie sans ni feu ni flamme
dans les doux ennuis du doute sans joie
vêtue d'un message triste impersonnel
où la demoiselle orthographie mâle
sa colère d'avoir au terme d'icelle
vu en moi en eux un peu de son mal
vêtue mais très peu souvent d'une grâce
simple et incarnée d'humaine candeur
pécécéiste Elle vient dire vers ma glace
son désir d'aimer et pourquoi sa peur
vêtue d'une parole où chante sa voix
d'adolescente ivre de ses rêves anciens
âme très cruelle cependant ma joie
je te dis adieu sans y croire en rien
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