Que jai lu et relu un Prix Nobel de littérature, je ne vais pas me priver de vous en faire profiter (bon, on exclut Camus car je lai découvert après son prix, jétais un peu jeune).
Je suis tombée dedans, il y a plus de 30 ans, et me suis régalée de ses «petits » romans déjà en poche à lépoque.
Il a été feuilletoniste pour la radio dans un pays si friand de ces rendez-vous devenus télévisuels mais qui étaient radiophoniques à une époque où les postes rassemblaient les ménagères de plus et moins 50 ans, ce qui explique son art de tenir le lecteur en haleine, de lentraîner dans les situations irrésistiblement drôles et rocambolesques.
Et voilà que je découvre que cette « littérature » alimentaire en cachait une autre bien plus profonde ainsi que ses engagements politiques.
Comme pour chaque livre dont le souvenir demeure, je revois les circonstances dans lesquelles je me trouvais lors de sa lecture
. 30 ans pour quelquun qui bouge pas mal comme moi, je lai emmené partout mon « Vargas Llosa » sauf au Pérou, il faudra que jy pense !
Quel plaisir de voir sa joie et sa simplicité aux infos hier !
Encore de belles heures de lecture devant moi pour réchauffer cet hiver.
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