Ouvrir un livre de poésie, ça peut être comme fermer les yeux, ou les garder dans le vague tant l'écrit déborde de la lecture et charrie tout un flot de sensations, de souvenirs simples de l'enfance, de doutes adultes, de choses qui battent avec le cur et l'esprit.
Comme une paille légère que l'on mâche sur le bord de la route, pour profiter du chemin...
Lire Jouanard c'est comme rêver à livre ouvert, ou comme le silence après Bach, si j'ose!
↧