Cataleptique voile à lorbe fixité,
Ultime cataclysme au sablier du temps,
Inexorable oubli qui dissout le conscient,
Dans damers tourbillons de folle inanité.
Hébètement soudain dune imminente fin,
Agonisante envie qui se meurt apeurée,
Je te crains mon tourment mais je ne puis lutter,
Tu consacres mon corps et foudroie mon destin.
Je te vois, Toi la faux du sentiment dernier
Recouvrant de ton suaire la lueur de mon esprit
Séduisante grivoise, avance ! Je suis prêt.
Il est tard O ma vie ! Tu mas si bien servi.
O ma mort il est tôt ! Je voudrais te défier,
Mais la nuit menvahit et mon cur me trahit
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