Thierry Lhermitte disait au téléphone à propos de Jacques Villeret : « Oui, oui, il est là, une belle tête de vainqueur ! » ; cétait dans "Le Dîner de cons" de Francis Veber.
http://www.youtube.com/watch?v=4d15mvYy61U
Dimanche soir, il y a un gus qui na pas arrêter de dire « Au lende-main
au lende-main
etc. ».
Au lende-main. Super jeu de mot quil a fait là.
Un jeu de mot subliminal à défaut dêtre sublime.
Gauche molle.
Version homme de 2007.
Les plus féroces parlent même de Flamby ou de Porcinet, mais cest franchement méchant avec tout le régime quil a fait. Il serait même une superbe démonstration pour les régimes minceur, genre "avant" et "après"
encore que
Là, jai limpression quil a repris du poil de la bête.
Il la dailleurs confirmé :
« Nous avons fini par les oublier, tant on est finalement les seuls à couvrir lespace médiatique. Au point quil va falloir se mettre maintenant à la diète. Moi, javais commencé depuis longtemps, je vous dirais, menfin, sur un autre terrain ! Mais il va falloir se mettre à la diète médiatique, parce que dabord, il va falloir reprendre nos forces, et ensuite, parce que cest le débat démocratique qui va trouver sa place. (
) Il va falloir, je vous lai dit, laisser un peu de temps. Mais pas trop de temps, parce que, nous sommes déjà à la moitié du mois doctobre (
) et dès le mois de janvier, nous serons en mouvement. (
) Donc, nous navons pas de temps à perdre, mais il faudra prendre le soin de bien nous organiser, de bien nous déployer ».
Je ne suis cependant pas sûr que représenter un pays (celui aux mille faux mages), ce soit représenter juste une fraction de ce pays :
« Ce soir, (
) jai reçu un mandat, dune partie dentre vous, un mandat impérieux, celui de faire gagner la gauche ».
Mais, il est un bon conteur, à défaut de bien compter, il nous raconte de belles histoires qui commencent bien :
« Nous sommes partis quelques-uns dans cette belle histoire de la présidentielle
».
Quel Don Rodrigue il nous a fait là :
« Sous moi donc cette troupe s'avance,
Et porte sur le front une mâle assurance.
Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort
Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port,
Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,
Les plus épouvantés reprenaient de courage !
J'en cache les deux tiers, aussitôt qu'arrivés,
Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés;
Le reste, dont le nombre augmentait à toute heure,
Brûlant d'impatience, autour de moi demeure,
Se couche contre terre, et sans faire aucun bruit
Passe une bonne part d'une si belle nuit ».
Si belle nuit...
De là à nous faire rêver
« Cest le rêve français que je veux réenchanter ».
Ah ben si, rêvons bien, les vaches seront bien gardées.
Ce n'est pas un roi, c'est un mage.
Un faux mage de Hollande.
Merci Merlin lenchanteur !
Miaou.
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