Non, nous nétions pas pauvres.., mais une famille modeste de trois enfants, trois filles .
Ma mère, « hantée » par la maladie quelle avait combattue avec « bravitude »pendant sa jeunesse avait trouvé force et espoir dans la religion, au risque de quelques « phospènes » éphémères. Dans ces moments dhallucinations, mon père disait toujours : « Ah ! C'est qu'elles voient si bien, les femmes, en une seconde, la chose qu'on n'aurait pas dû laisser traîner !"
Mon père, quant à lui, sattachait aux règles au prix de « pinaillages » qui nous étaient insupportables, pas question de l « interboliser », encore moins de déroger sans encourir le martinet, sorte de petit fouet composé dun manche en bois surmonté dune dizaine de lanières en cuir de « vingt-cinq centimètres » environ, qui en représailles cinglaient nos cuisses
dans lenceinte discrète de nos « pénates ».
Pour fuir cette ambiance détestable, laînée des filles, dès la première rencontre, et à la première « étreinte » amoureuse se maria.. la plus jeune poussée par une force occulte, quitta la famille du jour au lendemain.
Quant à moi, nihiliste par opposition, cest bien pour vous faire marrer que je me plie de bon gré à et exercice
↧