Cher PCC,
Vous avez dernièrement publié un commentaire nous défiant toutes et tous pour le concours davril.
Votre obole destinée aux dix meilleurs textes est un mois dabonnement offert.
Etes-vous conscient que certains mots obligatoires à insérer dans nos textes étaient étymologiquement obscènes ?
Je vous vois très bien en lecteur et vérificateur concupiscent, à la limite du voyeurisme, attendant que ces auteur-e-s ou poètes placent dans leurs récits un mot, que dis-je « le mot ».
Oui ! Vous jubilez déjà, je ne suis pas dupe et vous entends presque ricaner en choisissant de nous astreindre à placer « irrumation » ! Mais quest-ce donc ? Un rhume qui tourne mal ?
J'ai même appris de source sûre que Wikipédia avait été momentanément saturé.
Certains textes en chevaucheront dautres, donnant à quelques auteur-e-s des nausées quaucun traitement cholagogue ne pourrait atténuer, dautres au talent irréfragable excelleront dans leur insénescence virtuosité décriture.
Quant à moi, je vais faire mienne la citation de V. Hugo et vous la dédie :
« Il y a des gens qui vous laissent tomber un pot de fleurs sur la tête dun cinquième étage et qui vous disent : Je vous offre des roses. »
Ce fut votre cadeau d'adieu empoisonné à l'abonnée que j'étais
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