A l'horizon le printemps
Le malicieux génie des peuples libres plus que jamais
pousse ses rameaux sous la pourriture et l'humus
Ton âme, ils ne l'ont ni détruite, ni achetée
elle bat sa sève en sourdine
Les hommes serviles
se délivrent des chaînes
les chiens redeviennent oiseaux de voyage
A l'aube du monde dont j'observe l'éveil
de multiples jeux à nouveau propagent
de vivantes lumières
Des poitrines gonflées d'espoirs
à un souffle puissant se préparent
Ce souffle...bientôt emportera
les miasmes de la terreur et des pouvoirs
Et nous danserons
↧