Des courbes et des lignes ici lisent le visage qui devient pour une heure autre toi ton exil exilée exilé seule à seul seuls en mon chemin devers la calme eau des regards qui épouse lors un nom une heure devers le signe du départ en eux un seul et même à coeur sur la toile nette de ce ciel est ivre mort un feu Oscar petit qui sillonne en la Seine en l'île est bien le seul poème qui sur le tard se dit d'un souffle à qui l'apprit de sa voix vieille cependant ayant pouvoir de tuer leur nuit d'abolir le jour de ta peine et pour le signe que tu as au dedans toi pauvre hirondelle sache que ce signe est lu en moi mais si désire un seul à toi là même à mon seul Désir soit le tien au seul désir qui désire même désirant vivre ce chemin matin matine en sa campagne où ( opéra ) n'angélusent pas les anciens ni les anciennes d'aucune halte sinon celle là-même qui vient de loin
" devant celui qui se prosterne ", etc.
( ad Te, qui as comme lui le culte des images feues & autres icônes idolâtres )
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