Solo de mandoline où des ombres
qui sont là en sourdines s'en vont
de par les âmes liges à Londres
à Paris à Franckfort, agiles, nous allons
nous avons eu des peines mais
le hasard des chemins va délivre
nous donnera d'aimer une paix
entre les uns les autres et leur vivre
mon amour éternel est une saison blanche
et noire en mon sang d'encre je devine des vies
danseuses d'elles-mêmes aux âges d'anges
ainsi que des esprits
demain sera présence autant que mon Midi
en un gouffre solaire une voix d'enfant naît
passante de leur siècle mais née devers juillet
sous l'insigne haut Mercure qui devine les vies
Le 10.09.12. à 14h33
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