Maurice* nous avait avertis :
Vous allez voir chez moi en Corse* cest géant*, vertigineux*.
Je vous dirais ce lieu où je suis vis, près de la combe* verdoyante
Pas loin, il y la mer turquoise, qui sétale profonde avec ces reflets dor sur la vague* incessante et nos âmes seront bercées
..
Sur la plage, nous vivrons sans vestiaire*.
Nous planterons nos tentes, puis le jour, avec notre petit bateau pneumatique nous irons à la pêche.
Bien sur il ny a pas de moules*, mais les crustacés, seront notre régal.
Le soir nous ferons un feu, et sur les braises nos mets croustilleront.
Dans la nuit bleue une trouée détoiles nous enveloppera.
Nulle rançon*, pour ces vacances de rêves. Aujourdhui, car nous étions si jeunes, je ne puis caricaturer* ce que nous avons partagés.
Nous étions quatre, avec une vieille bagnole, deux tentes plantées sur le sable le plus dur
Il prenait sa guitare, jouant durant des heures, puis il nous contait des histoires fabuleuses jusquà ce que nos paupières se ferment doucement sous la galaxie.
Comment syncrétiser* cela ?
L Amour, l Amitié, la Nature sublime ont gravés pour léternité en moi, avec la gouge* de ma mémoire, ces instants vécus de ma jeunesse.
Pour le jeu proposé par voltuan.
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