La recette est facile, et d'accès à tous.
Non, non, je ne suppute pas que la communauté pécéciste me harcèle de façon prégnante, voire même juste gênante, loin s'en faut.
Non,
Non, non, j'ai retrouvé du boulot, les os de mon bassin (pour ceuzécelles qui ont suivi) sont ressoudés au top, mieux même qu'un hubot.
Non, ma santé se porte du mieux qu'elle peut, merci !
Mais en ces moments de politiques française et planétaire hasardeuses, d'un hiver ayant trop tardé à laisser sa place au printemps d'une sincérité douteuse, de Rigide Fardo & ses potes s'agitant face à la représentation Nationale pour de brunes raisons.
Ces nouvelles "autorisations d'étude" de l'extraction des gaz de schiste,
ces attentats un peu partout (et surtout pas que à Boston USA),
ces prothèses PIP qui vous pètent à la gueule.
En plus, ma Mère elle a perdu son Oeuf-à-repriser, alors... (hier, c'est ma soeur qui s'est fait voler son vélo)...
Je ne vous dis pas les sources de déprime potentielles.
Du coup, hébin, des fois, j'ai envie de pleurer.
Alors, dans ces circonstances, j'ai un morceau qui-va-bien pour pleurer, enfin, pour "bien pleurer".
Pleurer "bien", en ayant la chair de poule, le frisson furtif qui monte jusqu'aux yeux, qui poussent les poussières lacrymales ayant pu s'y loger benoîtement,
De l'émotion de cuivres et de sueurs
Qui vient recouvrir d'un catalogue de notes thatcheriennes ces moments.
Le concerto d'Aranjuez, version "Les Virtuoses".
ci-dessous :
http://www.youtube.com/watch?v=C8uoY9e5YVY
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