La veille, pour calmer son angoisse, je la faisais inspirer aussi profondément quelle le pouvait et expirer, au rythme de ma respiration. Elle serrait très fort ma main mais je nai pas voulu comprendre quelle commençait son ascension.
Son souffle était ténu pourtant, comme le filet dun ru presque tari.
Et ses grands yeux murmuraient et mes yeux lui répondaient
Notre dialogue fut sans mot mais tout a été dit.
A laube, elle sen est allée. J'ai accompagné son départ.
Embrasse papa pour moi.
Merci à tous deux.
Au revoir.
http://www.youtube.com/watch?v=Ef3khwcYUlc
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