laube encore,
entre deux mondes
la nuit, une utopie.
Des pas
sur le gravier :
quatre pieds,
pélerins
sur lincertitude,
et les belles choses
prennent vie
dans la sève
du jour
des perles roses
aux bras des
arbres au bas
du val,
le prisme du
soleil mord
les statuaires
blancs,
les doux
baisers du vent
ont le pollen
fou et se posent
sur le flux
des fontaines
ravies,
alors
immobiles
et sans le souci
nous sommes, avec
des images docéan
planquées
sous nos paupières...
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