Depuis quelque temps s'opère un transfert entre PCC et Facebook : beaucoup de membres du premier se retrouvent sur le second, sans leur pseudo.
Les copinages se retrouvent, le mur affiche beaucoup d'intimité. Le venin est présent...car "le ventre est encore fécond d'où est sortie la bête immonde".
C'est aussi un journal de bord : les amis répondent, donnent des conseils.
Le nombre d'amis donne l'impression que le membre en question mène une vie trépidante...et c'est souvent le cas.
C'est un réseau, un site de rencontres aussi.
Un moyen de passer le temps : réservé aux très jeunes au départ, désormais tous les âges ont un sauf-conduit.
Qu'en penser? Que c'est très bien à petite dose. Donc, quitte à être accroc, accrochons-nous à plusieurs béquilles.
Dans un mal être fréquent, on communique, on s'exprime. Un but dans sa journée.
Un signe des temps.
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