Quel est le prix pour celui qui est pris...
A déborder d'Aimer,
Etre mordu ou mordre?
Telle est la question de vos yeux lue.
Que celui pris, ose prendre.
Au goût d'aimer, j'ai mangé vos mots tendres.
Pour vos bas, comme du haut,
Je travaille ma plume pour tenir le verbe bien au chaud.
Vous sortir de mon chapeau à tous les étages, une idée à songer.
Songeons d'Amour...
Comme une liste avenir!
...Si vous "m'aimasse"...
Je ne vous en aimerais pas qu'a moitié.
Entier dans l'amourachage où vous plantasse
comme il faut, le possible Vous en un Nous.
Et bien que j'écrive n'importe peu ou quoi,
j'écris certes pas comme il se doit.
J'ai rangé des sentiments dans ces mots dérangés.
A l'or de ses lignes rongées d'amour,
Vous n'êtes pas dispensé de m'échapper!
A tous les temps le verbe grimpant du lierre Aimer peut devenir envahissant.
Il est donc peu utile de vous en défendre.
Pensez que le "parti" de l'Amour est un parti libérale.
En ses émotions.
De devenir l'intime, comme une réponse à ne faire plus qu'un.
Réajuster ses limites pour s'organiser un emploi de sentiments.
Autant vous dire combien sur l'échelle du temps,
vous m'avez manqué, aujourd'hui que je suis pris!
Du regard j'ai volé de ces rêves,
pendant que vous dormiez.
J'ai soufflé sur vos paupières fermées mon rêve d'aimer.
Je contemple ma dérobée, qui me marmittonne en son coeur.
Pour me retirer à pas feutrés de la cour de mon babillage.
J'arrête ce jour,pour vous rejoindre en cette nuit.
Bien à vous depuis mon rayon de lune,
Votre Siamoisaimant, papillon accroché en vos ailes.
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