Vous
.et moi
Vous, femmes de mes rêves
Je ne cesse de penser à vous.
Vous me comblez alors je ne marquerais pas de trêve.
Mon amour naura dégal que la beauté de vos joues.
Ensoleillées quand vos yeux sourient
Je les ai vus luisantes parfois
Alors le gout salé de ces larmes vernies
Ma laissé en émoi.
Pourquoi vous fais-je souffrir ?
Serai-je à ce point un malfrat
Quil me faille imaginer un instant vous voir partir
Pour comprendre que vous êtes en branle- bas .
Vous avez réveillé en moi ce mot doux
Qui na pas été souvent dans la marmite
Votre indulgence na dégal entre nous
Que les intentions qui mhabitent
Dabnégation vous faite sans cesse preuve ;
Daucun prétendant que cest parce que vous donnez la vie,
Ne devrions-nous pour autant du constat de cette uvre
Nous pavaner du droit de toujours, de vous, attendre notre survie ?
Petit enfant hier jétais, grand Gosse aujourdhui je suis
Bien souvent dailleurs vous le dites
Et cest bien à propos même si parfois, homme, cela nous ennuie.
Nallez point ôter de votre vocabulaire ce mot qui nous grandit telle une stalagmite.
Oserai-je lavouer alors quil est encore temps ?
Dans la soupe vous avez rajouté pour toujours
Cet épice si doux au nom dAmour
Alors je ne voudrais plus quil y ait de contre temps.
Le vernis de vos pommettes reprendra un gout sucré
Vos yeux brilleront des éclats du soleil
Vous aurez tout loisir de mappeler Bébé
Pour vous je le serai ; désir dêtre en votre sein empli de miel
Femmes de mes rêves je vous invente une chanson
Le refrain désormais ne sera pas rengaine.
A votre écoute jessaierai de me mettre au diapason
La vie est plus simple quand il ny a pas de haine.
Jai préparé pour vous que jaime
Dans la chambre de coton de mes pensées
Le plus beau lit avant que vous ne disiez de même
Alors en vous jai choisi de me
lover
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