Tir à larc. Sur la chasse aux volatiles, au déplumés et aux futiles qui passent dans le ciel de Pcc. A quoi reconnaît on un Troll ? Il crie comme un porc, écrit comme un cochon, na quune idée en tête : attirer lattention. Pas sur les problèmes du site sur lequel il se trompe, mais sur son petit moi, son petit joui, sur sa ponte. Cest un oiseau hurleur. Il a raison de se méfier, cest le mois des gastroentérites, à ramper sur le sol, il recevra sa destinée
Cest un site de rencontre, pas un forum dinitié. Le problème pourrait venir des abonnés, qui font salon et Récamier. Mais ils sy trouvent bien, va-t-on leur reprocher ? Qui serait là pour les remplacer ? Cest eux qui font le spectacle, aboyeurs et réclame. Les ayant souvent égratignés je peux ici complimenter. Malgré les frottures de façades, ça fait partie du jeu toutes ses bousculades, cette course à la prime et à la parade. Qui en est vraiment dupe ? Les compliments namènent pas vers la chambre à coucher. Une invitation à boire un thé, oui. Faudrait pas tout mélanger. Dix messages rapportent plus quun mail bien tourné.
Sauf pour celui qui na quune plume au derrière, bien entendu
Quand aux désargentés qui commentent à toutes gommes pour recevoir des messages gratuits, ils font aussi partie du cirque, on sen amuse, on en rit. Les nouveaux arrivants se plaisent à discourir ? Et bien laissons les se bâtir. Cela pousse des gens à écrire, à lire, à se raconter, cest toujours mieux que rester devant la télé. Eux aussi vont se mettre à réfléchir, moins de frimes et de cris attirent plus les baisers, moins de douches de miel et plus de sincérité amènent plus de considération. Cest leurs problèmes. Et leurs pantalons. Mais nous aussi on a commencés troufions !
Sauf pour celui qui na quune plume au caleçon, bien entendons
Et puis cest oublier les milliers qui se taisent, parce que les mots les mettent mal à laise, et qui sont bien content quon fassent les couillons sur lestrade du marché, pendant queux discutent avec Marcelle, font la cour à René, ou se dirigent vers le salon de thé. Ecrire un com cest sexposer (le jeu de mot est pour ceux qui y pensent). Certains naiment pas. Cest tout à fait leur choix et leur liberté. Convenez que cest plus élégant un café où les gens parlent dart, que le coin des maquignons (élevons le débat jusquau mythique) où on tâte les rognons.
Sauf pour celui qui na quune plume au bidon, bien entendrons
Que ce bel oiseau passant haut dans le ciel, joue en passant les protecteurs de la littérature, alors quil ne sait ni structurer un paragraphe, ni articuler sa pensée, cela reste une véritable gageure de le lire sans rire, ne pas sesclaffer devant cette grenouille qui joue à avoir des
des
des.... des joues de citrouilles (merci Reiterrance).
Comment nomment-on déjà les parangons, arrondissant leurs queues, criant Léon ?
Ces petits paons dIran, des petits patapons, des petits patatras ?
Comment nomment on déjà les enfants qui tirent dessus pour se la faire grandir ?
Ces petits gazouillis, homoncules pleurnicheurs ou petits castrats ?
A ceux qui créé des pseudos juste pour vider leurs poubelles
Quils regardent dans leurs slips pour voir ce qui a disparu
Ailes nont plus
.
Cette flèche ne vise quun seul type d'oiseau
Cette flêche est signée « Calinoscope »
La prend pas dans les dents cest pas ça quest visé.
Et ne tassoit pas avant dêtre opéré.
Coup de chapeau en passant à Errol Flynn,
Pour son charme et pour sa frime
Qui nous fait encore rêver
Vive le cinéma.
Non mais...
Ps) Tradition oblige. A toute femme aimable et pénétrée du texte ci dessus. Rendez vous 6h32 précises, devant le stand de tir du tribunal dAvignon. Prévoir arrosoir et filet à crevettes. Que les souris aient une tapette. Jy serais très mignon, le visage passé au bouchon. Demande discrétion et sens de lhécatombe. Convolons.
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