Mes amis,
Il y a de nombreuses années j' ai abordé la philosophie en autodidacte, au forceps, comme une nécessité profonde pour m'élever au-dessus du troupeau et afin d'éviter de regarder la télé ou comme vous autres de lire de vulgaires romans.
C'est dans le même esprit de conquête d'ailleurs que j'ai laissé la variété, le rock, la chanson aux esprits simples pour étudier vraiment « la grande musique » (Pachelbel, Albinoni, la famille Strauss et André Rieu)
Aujourd'hui je voudrais donc vous amener à réfléchir sur le concept de l'être chez Heidegger, et vous intimer à prendre un peu de votre courage et de votre temps (si, si, je vois bien que vous en gaspillez ! ici notamment, à publier des enfantillages) afin de mieux saisir en quoi cette notion, une fois intégrée, une fois comprise (com-prendre : étymologiquement "prendre avec soi"), vous désinhibera quand aux réactions pertinentes que vous voudrez m'adresser.
Je ne manquerais pas d'y répondre (avec quelque condescendance il est vrai)
Et maintenant silence !
Sur "Sein und Zeit" (Etre et Temps) de Martin Heidegger
La question de l'étang étant explicitement posée et élevée à la pleine conscience de l'être elle-même, son développement requiert une exploitation du mode selon lequel l'étang doit être visé, son sens étendu et mis en concept ; il nous faut préciser la possibilité de choisir correctement l'être exemplaire et aménager la voie d'accès capable de nous y conduire. Or, viser, entendre, comprendre, choisir, skier sont des déterminations constitutives de toute question, et par là des modes d'être d'un étang déterminé, de cet étang que nous, qui questionnons, sommes nous-mêmes. "
Merci pour vos votes... Je vous laisse déposer vos*****
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