Mon rêve d'O, tranquille, aux lèvres qui s'entrouvrent
dans le rêve qui va
au devant d'une barque où tout ploie, et tu couvres
toi le son de ma voix
tu rêves encore en toi de ces pas souverrains
qui vers l'aube sont promesses,
de ces cités de chair, à deux pas des anciens
lieux d'abandons en caisse ;
bien assez cérébreuse pour cacher ton désir
sous un masque de femme,
ou bien assez rêveuse pour tricher et te dire
petite fleur de mon mal
de toi, je ne sais rien sinon deux larmes à l'oeil
bien mouillé je le sais,
oui, qu'importe de nous les folies que l'on cueille:
tout le reste on le sait
L
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