Bonjour. En ce début d'année je suis sec, je n'ai absolument rien à dire... Pour être franc je profite de l'absence totale de concurrence sur la thématique "Médias" pour essayer de remplir les icônes bleues de ce site, au moins provisoirement.... Ah les icônes !... l'art nouveau d'un Andreï Roublev automatique ou la joie de voir sa trombine encadrée comme par magie... Je vais donc, avec votre aide, tenter de substituer mon teint frais d'avant les absorbtions éthyliques de ces derniers jours aux déprimantes petites croix rouges sur fond azur.
Faites comme moi et essayez d'augmenter votre visibilité sur pointscommuns : la rubrique "Médias".
Je laisse aussi un petit avis de recherche par la même occase :
En effet, cette nuit, étendu sur le dos, je roupillais fenêtre ouverte et l'air frais mais étonnamment doux de ce premier janvier me remplissant les naseaux par vaguelettes successives quand un corps d'une souplesse infinie se glissa sous la couette et serpentant des pieds vers mon buste se mit à allumer quelques étincelles épidermiques ça et là, d'abord en chatouillant mes pieds, puis vérifiant le galbe des mollets, la fermeté de mes cuisses (et celles de mes fesses que j'ai rebondies) avant qu'une masse chaude et douce s'applique à mon bas-ventre et se déroule jusqu'aux trapèzes.
Puis d'un mouvement doucement oscillant qui me rappelait les cours de mécanique ondulatoire de mes jeunes années de fac, balancement tellement fluide que les lubrifications de toutes les parties en oeuvre étaient déjà achevées, je sentis des lèvres humides s'appliquer aux miennes et la suavité d'une langue de sucre me fondre en bouche.
De la suite je ne dirais rien mais ce matin j'étais formidablement détendu.
C'était qui ?
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