Jétais déjà dos au mur, immobile spectateur, quand les autres se tenaient la main, couraient en une folle sarabande- comme un ruban cinglant au vent- dans une cour de maternelle au macadam propre, et riaient en se tirant les uns les autres, en une chaîne distendue et retendu au gré des emportements, et comme une chaîne dADN qui secrétait à son aise dans une cellule quelconque du monde environné.
la vie était devant moi, à juste titre, et je la regardais passer
Depuis
trois petits points
trois petits cochons
.trois fois trois
froid trois froid trois
chaud trois gros
trois petits navires
..délires des lyres des lire
Vrai quil sen passent des choses quand on prend le tempo du regard au dia-passons .
Par exemple, vous pourriez penser quil ne se passe rien quand vous seriez fixé, atterré, perplexe, devant un tableau de Soulage, tableau maintenu au mur en grande tenue dabstraction avocatière, et dans sa période tombeau sapin de go-well, ou gare, phare à néon de cigares au cimaise, accroche bien tes boules, ça bouge
.
Et bien, il se passerait quelque chose, jen suis sûr, jen parie la
. mes boules !
Rien quà leffleurement de la lumière, de passage en rase-motte sur la toile pourvu de milliers de sillons ....rien que ça !..voui, il y a quelque chose qui se passe davec la clarté
Cest comme dans "Lady Chatterley", il y a des sentiers détrempés pour la voiture de Clifford, mais comme ça passe, ça passe !
Me Dois-je de vous dire que lauteur de la Chatterley, que je vénère doublement- avec un double vé dans son nom- et cest même pas pour faire sa caboche flamboyante au passage dans du peuple
dailleurs, quil se serait rendu, lauteur, plus au pub quà lestaminet
Mais comme dun excellent passage, je voudrais vous faire la conquête et dun extrait à poursuivre par ailleurs
( ah ! Alliage : partir un jour sans retour
lidéal, non !)
Voi là : A ses début dans la nouvelle, « le soupirant moderne » il écrit :
« vois-tu, dit-il, la vie est seulement faite pour être vécue et lon ne peut pas vivre sa vie tout seul. Pour faire jaillir une étincelle il faut avoir deux si lex.
Pourquoi ne serais-tu pas le sot, lex qui ferait jaillir ma flamme ?
( scusez cette traduction approximative).
Mais Cest dune beauté , la proto histoire ! et cest là que tout démarre
redémarre en broutant, avec la clé
Tout est à réinventer, et silex dun seul lancer fait un ricochet, alors là, ça ricoche , ça ricoche pour de la belle histoire à fleur du pas possible, mais si cest un possible !
.
et ça nous fait encore de beaux enfoirés à la belle jambe! ( au bout de combien de ricochet ça coule ? ).
Parbleu - et juron préféré de Maigret à ses début- parbleu ! (pécécé ricoche moi ! )
Va zython , va ton zython , va ton zythum faire de la figuration jusquau bout des mots !
Remarquez, Cest toujours aussi bien de finir en bière , cest pas Maigret qui me contrebanderez ! aussi, je ne déprogerais pas à la tradition
Aussi, jy ai pensé ( ménon ! lecteur silencieux , non, ya pas trop de scie ), dans cette tournure que prend les choses, et afin de satisfaire nos amis et connaissances, qui avaient manqué de Vu- lasse-caisse en deux mille onze ( voudriez-vous faire passer à Marguerite, mais pas la Duras ), aussi bien , vous êtes prié dassister à la résurrection de :
Vu lu mirliton
Vu nette vaisselle
Vu glaire baston
Vu nu sempiternel
Vu loute fleur
Vu lot broyeur, le sixième de la bande des six .
Sextine 3 : sarautillé : ou comment trousser de l S têtique
Qui cherche le salé, trouve de la baston.
Bagarre à la jetée, idylle de broyeur
Jai vu se marier toutes sortes de fleurs,
Des fleurons du fleuret aux fraîcheurs mirlitons,
D à faire distingué, au lys sempiternel :
Toujours il le fallait, toujours il lavait celle.
Le mot « Amour » marbré, en portant la vaisselle,
Tel ange recourbé, à soffrir des bastons,
La même joie tablée, et lois sempiternels,
Le mot « amour » signé, au meuble du broyeur,
Dans son palais enflé, de vers de mirlitons,
Et fortement sacré, aux mornes allées des fleurs.
Cest quil faut estimer, au volage les fleurs :
Des murs sont épinglés, il lavoue lavait celle ;
Quand un trou est percé, du propre au mirliton,
Dans la quête au reflet. Le dispute au baston,
La couleur du passé, par un piston broyeur
Et vraiment ce portrait, a trait sempiternel,
Au mur gris encadré
ciment sempiternel.
Nacelle de lester, et comble cest la fleur,
Le mystère beignet, la couleur au broyeur
Un visage brossé, et lart que lavait celle,
Qui va dire indignée, la rumeur des bastons,
Quuntel a heurts passés, et sang dor mirliton.
A trait de toi pour trait, qui le mire, lis-t-on,
Pour quelle se boufferait, Orly sempiternel,
Aujourdhui quon défait, des visages aux bastons.
Malgré tout, là, tu es, et venu comme une fleur,
Avec des traits marqués, dans ce cas lavait celle,
Des tokay à caser, dans un script broyeur.
Cest quil faut virager, au langage broyeur,
Et prendre une autre allée, autre que mirliton,
Pour dire au jubilé, quel être lavait celle,
Celle qui lex, lavait, pression sempiternelle.
Mais laissez-les flirter, au paysage en fleur,
Du pinceau affamé, et gare bas ce ton.
ENVOI :
Frappé, qui de baston, carré, qui lavait celle,
Que datomes seffleurent au gré sempiternel
Où ty est mirliton, et lancre y est broyeur.
↧