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Trousser de L' S têtique par Chapatouar

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J’étais déjà dos au mur, immobile spectateur, quand les autres se tenaient la main, couraient en une folle sarabande- comme un ruban cinglant au vent- dans une cour de maternelle au macadam propre, et riaient en se tirant les uns les autres, en une chaîne distendue et retendu au gré des emportements, et comme une chaîne d’ADN qui secrétait à son aise dans une cellule quelconque du monde environné. la vie était devant moi, à juste titre, et je la regardais passer … Depuis…trois petits points…trois petits cochons….trois fois trois …froid trois froid trois…chaud trois gros…trois petits navires…..délires des lyres des lire… Vrai qu’il s’en passent des choses quand on prend le tempo du regard au dia-passons . Par exemple, vous pourriez penser qu’il ne se passe rien quand vous seriez fixé, atterré, perplexe, devant un tableau de Soulage, tableau maintenu au mur en grande tenue d’abstraction avocatière, et dans sa période tombeau sapin de go-well, ou gare, phare à néon de cigares au cimaise, accroche bien tes boules, ça bouge …. Et bien, il se passerait quelque chose, j’en suis sûr, j’en parie la …. mes boules ! Rien qu’à l’effleurement de la lumière, de passage en rase-motte sur la toile pourvu de milliers de sillons ....rien que ça !..voui, il y a quelque chose qui se passe d’avec la clarté… C’est comme dans "Lady Chatterley", il y a des sentiers détrempés pour la voiture de Clifford, mais comme ça passe, ça passe ! Me Dois-je de vous dire que l’auteur de la Chatterley, que je vénère doublement- avec un double vé dans son nom- et c’est même pas pour faire sa caboche flamboyante au passage dans du peuple… d’ailleurs, qu’il se serait rendu, l’auteur, plus au pub qu’à l’estaminet… Mais comme d’un excellent passage, je voudrais vous faire la conquête et d’un extrait à poursuivre par ailleurs…( ah ! Alliage : partir un jour sans retour… l’idéal, non !) Voi là : A ses début dans la nouvelle, « le soupirant moderne » il écrit : « vois-tu, dit-il, la vie est seulement faite pour être vécue et l’on ne peut pas vivre sa vie tout seul. Pour faire jaillir une étincelle il faut avoir deux si l’ex. Pourquoi ne serais-tu pas le sot, l’ex qui ferait jaillir ma flamme ? ( ‘scusez cette traduction approximative). Mais C’est d’une beauté , la proto histoire ! et c’est là que tout démarre…redémarre en broutant, avec la clé… Tout est à réinventer, et si’l’ex d’un seul lancer fait un ricochet, alors là, ça ricoche , ça ricoche pour de la belle histoire à fleur du pas possible, mais si c’est un possible !…. et ça nous fait encore de beaux enfoirés à la belle jambe! ( au bout de combien de ricochet ça coule ? ). Parbleu - et juron préféré de Maigret à ses début- parbleu ! (pécécé ricoche –moi ! ) Va zython , va ton zython , va ton zythum faire de la figuration jusqu’au bout des mots ! Remarquez, C’est toujours aussi bien de finir en bière , c’est pas Maigret qui me contrebanderez ! aussi, je ne déprogerais pas à la tradition… Aussi, j’y ai pensé ( ménon ! lecteur silencieux , non, y’a pas trop de scie ), dans cette tournure que prend les choses, et afin de satisfaire nos amis et connaissances, qui avaient manqué de Vœu- lasse-caisse en deux mille onze ( voudriez-vous faire passer à Marguerite, mais pas la Duras ), aussi bien , vous êtes prié d’assister à la résurrection de : Vœu lu mirliton Vœu nette vaisselle Vœu glaire baston Vœu nu sempiternel Vœu loute fleur Vœu lot broyeur, le sixième de la bande des six . Sextine 3 : sarautillé : ou comment trousser de l’ S têtique… Qui cherche le salé, trouve de la baston. Bagarre à la jetée, idylle de broyeur… J’ai vu se marier toutes sortes de fleurs, Des fleurons du fleuret aux fraîcheurs mirlitons, D’ à faire distingué, au lys sempiternel : Toujours il le fallait, toujours il l’avait celle. Le mot « Amour » marbré, en portant la vaisselle, Tel ange recourbé, à s’offrir des bastons, La même joie tablée, et lois sempiternels, Le mot « amour » signé, au meuble du broyeur, Dans son palais enflé, de vers de mirlitons, Et fortement sacré, aux mornes allées des fleurs. C’est qu’il faut estimer, au volage les fleurs : Des murs sont épinglés, il l’avoue l’avait celle ; Quand un trou est percé, du propre au mirliton, Dans la quête au reflet. Le dispute au baston, La couleur du passé, par un piston broyeur… Et vraiment ce portrait, a trait sempiternel, Au mur gris encadré… ciment sempiternel. Nacelle de lester, et comble c’est la fleur, Le mystère beignet, la couleur au broyeur… Un visage brossé, et l’art que l’avait celle, Qui va dire indignée, la rumeur des bastons, Qu’untel a heurts passés, et sang d’or mirliton. A trait de toi pour trait, qui le mire, lis-t-on, Pour qu’elle se boufferait, Orly sempiternel, Aujourd’hui qu’on défait, des visages aux bastons. Malgré tout, là, tu es, et venu comme une fleur, Avec des traits marqués, dans ce cas l’avait celle, Des tokay à caser, dans un script broyeur. C’est qu’il faut virager, au langage broyeur, Et prendre une autre allée, autre que mirliton, Pour dire au jubilé, quel être l’avait celle, Celle qui l’ex, l’avait, pression sempiternelle. Mais laissez-les flirter, au paysage en fleur, Du pinceau affamé, et gare bas ce ton. ENVOI : Frappé, qui de baston, carré, qui l’avait celle, Que d’atomes s’effleurent au gré sempiternel… Où t’y est mirliton, et l’ancre y est broyeur.

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