Ô toi ma nymphe !
Nuit de tendresse ou matin se fit câlin.
Nuit que jattendais depuis belle lurette.
Rassure toi mon Amour rien ne transparaitra sur points communs ;
Il nest pas dans mes habitudes de divulguer nos secrètes galipettes.
Divine autour de toi laréole de charme, sur cette couette blonde,
mimpressionnait à ce point quil eut fallu
que je sois complètement bourré pour ne pas timaginer colombe
quand tu me suggéra de tes lèvres plus quil nen fallu
.
Pour avoir semblé tentendre de la chambre dà coté
mappeler délicatement ce matin dune voie fluette
je me suis empressé de débouler
pour aussi vite venir frôler tes gambettes.
Suprême sensation dune redécouverte tel un naturaliste
semmêlant des lianes en bourrelets de duvet
alors quil eut été bien plus simple que naturistes
nous flirtions bien plus à laise sur le tapis ras prés de la cheminée.
Quimporte Jeanne si je me suis trompé en imaginant tes paroles !
La lymphe mêlée de nos corps enlacés me fit réaliser
quil y a bien trop longtemps que sur nous planait une auréole
que le doux frisson du mistral se levant devait dissiper.
Ô toi Maitresse de mes nuits de gamberge à lunisson ;
même si pour autant tu renoues à lidée que je suis un gai luron
ne devrai je quencore écouter a ta porte tous les soirs quand tu tendors
.ce souffle qui, subrepticement ce matin, ma dit
..encore !
Cypou
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