Ce sont ces deux rêves ce jeudi matin qui se sont enflammés jusquà cette rupture de sommeil et qui sont partis comme les cendres senvolent après sêtre consumées.
Et cette idée aussi de réflexion, vouée à être approfondie, qui sest émiettée dans les oubliettes insondables de mes synapses. Nooonn ! Cest la seule chose qui reste, un "non".
Mon cerveau est une éponge, remplie de vide intergalactique. Il nest devenu quun étrange labyrinthe où retrouver le fil des idées est devenu aussi ardu que relire mes petites notes écrites à la va vite.
Aussi hasardeux que vouloir sonder les rêves des chats. Aussi folklorique que réaliser mes rêves suspendus en plein ciel, au-dessus de locéan béât de mes souvenirs denfant.
Vertige du fossé entre limmensité de lunivers et la petitesse du microcosme qui me nargue de sa candeur et de sa simplicité, de sa lueur et de sa sobriété.
Oui, ces kilomètres de neurones, ces milliards de cellules et de noyaux, ces trillards datomes, cet infiniment petit qui sinsurge et se révolte, qui se superpose aux milliards damas de galaxies, aux milliards de milliards détoiles et de planètes, à cet matière multiforme, à cet esprit si invisible.
Et là.
Une seule étoile.
Une seule planète.
Un seul continent.
Un seul pays.
Une seule ville.
Un seul être.
Un seul cur.
Qui bat encore.
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