Un peu d'or jette encore son âge
sur les pavés chauds de la ville
une enfance y vienne en sa page
sont des rêves qui furent indociles
mais près d'une âme singulière
voudras-tu goûter de ce miel
que l'image offre aux ouvrières
d'un soleil neuf ouvrant les ciels
pour que par toi au passage vienne
un peu des heures qui vécurent là
à toi mon pauvre amour l'antienne
de ton nom qui m'est autrefois
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