parmi les meilleures par Magic one

Les plus belles chansons de Claude François. Contrairement à ce qu’on peut croire Claude François n’est pas le frère de Frédéric François ni le fils de madame Claude et du père François. Claude francois de son vrai nom ******** est un enfant comme les autres né en Afrique du Nord. Ses parents étaient très pauvres et d’un niveau intellectuel bien en ******** de la moyenne. Son père était employé contrôleur SNCF, mais dans son pays en Egypte et sa mère jouait du piano debout, c’est peut être un détail pour vous, mais cela aura des conséquences importantes dans le comportement du jeune Claude. Quand sa famille fut expulsée les François s’installent à Monaco et claude fait ses premiers dans la vie. Avant de devenir le grand peintre que l’on ne connaît pas il va apprendre l’amour de la batterie lors d’une commémoration du 11 novembre 1958. Il aura ses mots « quand je serais grand : je serais grand » Mais papa et maman francois n’appréciaient pas cet amour irréfléchi de leur fils pour la batterie. Il marchait au pas et au son du clairon. Il vouait une adoration sans borne aux instruments à vent, avant d’abandonner la pratique de cet instrument. Car fort intelligemment il s’était rendu compte qu’il était difficile de jouer de la trompette et de chanter en même temps. N’oublions jamais sous peine de passer à coté de son œuvre que Claude François pouvait danser et chanter en même temps grâce au souffle acquit par l’apprentissage de la trompette. De la trompette il connaissait tous les secrets. Une anecdote : Un soir alors qu’il était au théâtre de Nice pour assister à un concert avec le guitariste Sacha disent elles les admiratrices, il fut ébloui par le joue du trompettiste. Il confia son admiration à son ami : - il est génial le trompette !!! - c’est pas un trompette c’est un piston ! - mais non c’est un trompette - non c’est un piston - j’en aurais le cœur net ! Une des qualités première de claude c’est sa persévérance et le goût du contact. Et à l’entracte il alla voir le musicien - alors trompette ou piston ? - deuxième porte à gauche Monsieur ! Et claude monta à Paris car le succès n’attend pas. Faire un album ambitieux comportant les plus belles chansons de claude francois est un exercice périlleux. Comment choisir entre « dona dona » et « le lundi au soleil » ? Cet album commence par la chanson « belle belle belle » Rien à dire c’est bien La seconde vient après la première elle est pas mal non plus « cet acné là » La troisième j’aime bien aussi « le téléphone pleure » C’est une mini pièce de théâtre chantée, il y dénonce les imperfections de la communication téléphonique, bien avant tout le monde. Puis le reste de l’album ne sont que des chansons qui se suivent. La dernière termine ce magnifique album. De nos jours même si Claude est toujours présent à l’esprit on peut constater qu’on le chante beaucoup plus dans les maisons de retraite que dans les années 60. C’est bien la preuve que son œuvre a évoluée comme son public a mûri. Salut l’artiste Regardes ta montre il est déjà tard…