Tout bleu que j'étais, nouvellement inscrit sur ce site,
que certains pourraient qualifier de messagerie rose,
mon côté fleur bleue m'avait fait m'émouvoir
pour une rose dont je tombais amoureux.
Je la considérais comme mon "ange bleu".
J'avais trop tendance à voir la vie en rose.
J'avais sans doute trop lu de Tuniques Bleues,
et elle trop baigné dans un univers rose bonbon.
Nous baignions dans un univers bleu Klein.
Elle était fraiche comme une rose et très vite
elle m'a accordé un passeport zone bleue.
Nos troubles nous mettaient du rose aux joues.
Mon sang bleu ne m'empêcha pas de m'échauffer
quand je lui fis une feuille de rose éloquente.
Elle m'en fit voir de toutes les couleurs à devenir bleu
après que j'eus titillé son bouton de rose.
Pourtant il aurait mieux valu que je devienne casque bleu
et que je reste couché sur mon lit de roses,
plutôt que de me faire avoir comme un bleu
quand elle m'a envoyé sur les roses.
Ce n'est pas d'une peur bleue que je fus assailli
quand je cessai de voir des éléphants roses.
Je ne soufrai pas non plus de maladie bleue
quand j'ai découvert le pot aux roses.
Mais elle me transperça de bleus à l'âme
car j'avais oublié que toute rose porte épine.
Je remis mon bleu de travail et partis ailleurs
Car ca sentait plus la rose.
Histoire à l'eau de rose et bleu de méthylène...
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