Sente ouverte à la porte close
fermez vos yeux, vous qui savez
le tempes battent la ville explose
où s'en iront tous ces damnés
femmes sans savoir, hommes sans désir
personne ne marche de par soi-même
lui ou elle ment son beau mentir
qu'importe l'heure des pîtres blêmes
la fausse époque aura passé
quand les saisons n'en seront plus
Terre qu'héritent les années
devant là devant nous perdues
auras-tu soucis de nous autres
quand règnera le faux-apôtre
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